«LE MOT DU PRÉSIDENT … »

Savoir faire et faire savoir…
Un impressionnant patrimoine de voies, de constructions diverses : gare, locaux techniques, un premier convoi… Il y a désormais beaucoup de choses à découvrir sur notre terrain du Pré de l’Abyme ! Et bientôt, un deuxième convoi de voitures, plus confortables, et sa loco, plus puissante… le tout réalisé au fil des ans par une équipe de bénévoles dynamiques, au « savoir faire » confirmé. 27 ans après sa création, c’est cela, aujourd’hui, l’association du Petit Train de Champignelles.

Il est temps de compléter ce beau bilan en nous dotant d’un outil de « faire savoir », grâce auquel nous pourrons partager régulièrement, avec tous nos membres et nos sympathisants, les informations sur la vie de l’association et sur ses projets de développement en cours.
Vous avez sous les yeux le numéro 1 de ce bulletin d’information de l’APTC. Il a été réalisé par un comité de rédaction qui s’est constitué et mis au travail, en application d’une décision de l’Assemblée générale du 10 février dernier, confirmée à l’unanimité par le conseil d’administration.
Lisez-le, faites nous part de vos appréciations, pour que nous puissions améliorer son contenu et sa forme :

Pour que ce bulletin vive et devienne votre Bulletin.

Daniel MOUFFRON

Bulletin N°1

Un nouveau convoi

En attendant la saison 2018

A l’occasion du dernier couscous organisé par l’APTC, Daniel, son Président, eu l’extrême amabilité de m’emmener voir en ses ateliers l’avancée d’un nouveau convoi ferroviaire qui sera totalement couvert.
Les travaux sont bien avancés et ces nouveaux wagons devraient pouvoir circuler dès la nouvelle saison 2018.

Hélas, ne m’attendant pas à ce que j’allais voir, je n’ai pas eu le réflexe de prendre quelques photos afin de vous en faire profiter.
Heureusement, Jacques, toujours fidèle à lui-même, à eu la bonté de me faire parvenir ces clichés que je me hâte de vous faire partager.

Etat d'avancement

du 2ème convoi

Par Claude Buridant

État d'avancement
Commencé depuis quelques années, la construction du convoi était au point mort depuis un moment pour différentes raisons, notamment l’absence d’un mécanicien. Ce n’est plus le cas désormais.
Néanmoins, lors de la reprise des travaux, une mauvaise surprise nous attendait : le moteur de la loco avait rendu l’âme (grippé)…

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